Au milieu du 19ème siècle, Bernadette Soubirous, une religieuse française, aurait découvert la source de Lourdes. On dit que l’eau a des guérisons miraculeuses, si bien qu’en 1985, le Japonais Masahiro Okajima est devenu curieux et s’est fait envoyer un échantillon de cette eau de source. Il voulait savoir s’il y avait quelque chose de spécial à propos de l’eau qui pourrait être utilisé pour établir les remèdes miracles. Mais il n’est pas allé plus loin avec les analyses habituelles. Finalement, il a eu la bonne idée : l’ionisation.
Déjà dans les années 30 du siècle dernier, des chercheurs et des futurs chercheurs s’étaient penchés sur le thème de l' »eau alcaline ». Ceci est obtenu par l’électrolyse de l’eau potable. A l’anode (pôle plus), de l’eau riche en hydrogène avec un pH d’environ 8 à 10 s’accumule et il existe aujourd’hui des appareils d’électrolyse commerciaux qui peuvent produire à tout moment de l’eau de base. On dit aussi que l’eau alcaline a des vertus curatives. Cependant, aucune étude scientifique ne le prouve. Source : Psiram
L’électrolyse avec des soi-disant ionisateurs produit une eau de base avec tous ses ingrédients à partir de l’eau du robinet. Il ne s’agit pas seulement d’ions et de sels, mais aussi de substances qui ne peuvent être filtrées de l’eau qu’insuffisamment par la station d’épuration. Afin d’obtenir un pH plus élevé, des substances fortement alcalines sont ajoutées en petites quantités.